ISARA

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Je suis originaire des Comores et je suis venue en Côte d’Ivoire pour mes études. J’ai toujours été passionnée par la biologie animale et la génétique. J’aime étudier leur comportement, la production, tous les mécanismes qui rentrent dans leur cycle de vie. En 2e année, j’ai eu l’occasion de découvrir l’Isara, lors d’une visite de vos équipes dans notre école l’ESA-INPHB, ça m’a donné très envie de venir faire un semestre et aujourd’hui, voilà, j’y suis. usqu’à fin janvier, je n’avais encore rencontré personne à l’Isara et c’est seulement en février que nous avons eu nos premiers cours en présentiel. Cela m’a fait beaucoup de bien de rencontrer mes camarades. Nous avons également eu des travaux de groupe qui ont permis d’apprendre à mieux se connaitre. Ce n’est pas facile de créer du lien au départ. Avant d’arriver ici, je savais déjà ce que je voulais étudier. J’ai suivi le module de l’UP8 sur la réglementation qualité, outils stratégiques, normes… et un module en biotechnologie. Actuellement, je travaille sur un projet Maestro et nous réalisons une étude de marché pour le lancement d’une marque. Puis, je vais suivre des cours sur la gestion des risques. Ce sont des compétences importantes à acquérir pour la suite : la gestion, le management du risque, le marketing…, cela me sera très utile.

Un ami a fait un Erasmus ici et a eu une très bonne expérience. C’était comme un rêve pour moi de venir étudier et suivre un programme en français. J’ai donc demandé un Erasmus à l’Isara pour un semestre et je l’ai obtenu. C’est un très gros défi pour moi de suivre le programme en français mais je suis motivé. A l’Isara, je suis la spécialisation SITER, développement rural durable. Nous travaillons sur le territoire et les systèmes alimentaires durables et toutes les problématiques concernées. Nous sommes 29 étudiants, ce qui est formidable, car nous sommes à la fois proches des enseignants et des étudiants. C’est très bien structuré. Pour mon projet professionnel, je pense faire ma thèse dans une entreprise allemande spécialisée en produits biologiques du monde entier. Je travaillerai sur l’approvisionnement des produits. L’entreprise est soucieuse d’améliorer la traçabilité des produits alimentaires et de partager les informations sur la production et ses effets environnementaux avec les consommateurs.

Passionné depuis toujours par les sciences de la nature, j’ai choisi d’intégrer l’Isara et son environnement scientifique. J’ai toujours été intéressé par le développement durable et j’aimerais pouvoir garder ce lien dans le monde de l’entreprise. J’ai trouvé une grande diversité de cours dès ma première année à l’Isara. Nous étudions beaucoup de choses comme la biologie cellulaire, la zoologie… Nos enseignants sont des passionnés. Ils nous font sentir leur envie de transmettre et de nous aider. Je me sens bien ici. Il y a un bel esprit de promo avec beaucoup d’entraide entre les élèves. J’ai fait mon stage de 2e année en maraîchage. C’était très concret. On est immergé dans le fonctionnement d’une exploitation. Le quotidien des agriculteurs n’est vraiment pas facile. Ce sont des métiers fondamentaux dans notre société, et ils sont pourtant mal reconnus. Ça pose de vraies questions de société. Ces stages nous permettent de mettre en pratique nos connaissances théoriques. C’est super intéressant. Actuellement, je suis Président du Bureau Des Sports. Je prépare et j’organise avec l’équipe des événements. C’est très formateur sur beaucoup de choses. On prend les choses en mains et on apprend à faire confiance et à déléguer. La 3e année est un vrai tournant dans notre parcours. Nous travaillons davantage en groupe avec des enquêtes de terrain. Pour moi, ce travail collectif est très motivant. L’année prochaine, j’envisage de faire le double diplôme avec l’emlyon. Je reviens à mon projet de départ en école de commerce. J’aimerais pouvoir concilier mes connaissances d’ingénieur agronome avec le management et l’entrepreneuriat dans l’environnement et la préservation des ressources.

Je suis entrée à l’Isara dès la première année. J’ai choisi cette filière pour 2 raisons : La première raison, c’est que cela me permettait d’accéder au métier de mes rêves, à savoir ingénieure R&D en agroalimentaire, tout en suivant une formation spécialisée dès la première année (et non trop généraliste comme le serait une prépa). La seconde est que, malgré le fait d’entrer en formation initiale en post-bac, j’avais la possibilité de poursuivre mon cursus en alternance dès la 3e année. J’avais donc un projet bien précis en tête et l’Isara était le meilleur choix pour le réaliser. J’ai donc suivi les deux premières années à l’Isara sous statut étudiant. L’alternance était pour moi un choix logique, car sachant déjà quel métier m’intéressait, je voulais acquérir le plus d’expérience possible, tout en ayant un lien avec le monde de l’entreprise. Bien sûr, les revenus qui vont avec et le fait que l’entreprise finance ma formation ont fortement influencé ma décision. Professionnellement, je me projette dans le métier d’Ingénieure R&D en agroalimentaire ou dans le domaine de la qualité avec une préférence certaine pour la production de boissons, de type sirops ou produits laitiers

Après mon bac, je cherchais une école en biologie, agriculture, agroalimentaire car je viens d’une famille de viticulteurs. J’ai grandi au milieu des vignobles. J’ai découvert l’école sur les salons, et après un temps d’échange, j’étais convaincu que c’était ce qui me correspondait le mieux. La première année est un grand changement car je me suis retrouvé à Lyon, à vivre seul dans un appartement. Au fil des mois, je me suis rendu compte que j’avais fait le bon choix d’études et j’ai beaucoup apprécié mon stage de fin d’année en Suède, dans une exploitation agricole en maraîchage et élevage. Nous avions une forte autonomie de gestion du domaine, c’était très intéressant. En 2e année, j’étais habitué à ma nouvelle vie et mon équilibre études et vie étudiante était bien en place. La 3e année, c’est l’année de la vie associative. J’ai été responsable du club Isarose/Isarome. C’est vrai que c’est dans une certaine logique, compte tenu d’où je viens. Actuellement en 4e année, je poursuis mon cursus en double diplôme avec l’emlyon. Je travaille sur des projets d’innovation et je viens de terminer une retraite en « Innov’action ». L’objectif de ce séminaire est d’apprendre à mieux se connaître avec des ateliers de développement personnel et des activités ludiques. C’est très intéressant. Les deux formations Isara et emlyon se complètent vraiment bien. J’ai effectué mon séjour d’études à l’université de Stanislaus aux États-Unis, dans le cadre du programme Erasmus+. J’ai suivi la spécialité « agriculture durable ». Tous les cours étaient en ligne à cause du COVID.

J’effectue mon stage de 2e année d’apprentissage à Varsovie en Pologne, chez McCormick, multinationale américaine dans le secteur agroalimentaire. À la suite de la relocalisation de la production de sachets d’épices en Pologne, on m’a confié la mise en place du déploiement des produits vers nos différentes entités. Mon projet consiste à déployer les produits de la Pologne dans 4 pays : Portugal, Espagne, Pays-Bas et France. Je travaille en étroite collaboration avec mes collègues polonais pour observer leur façon de travailler, percevoir les principales contraintes et former la personne qui aura la charge de la partie opérationnelle du nouveau déploiement. Ce stage est une véritable opportunité. Les KPIs* en seront nettement améliorés avec une baisse des ruptures de stocks et l’amélioration des performances économiques. Je vais ainsi gagner en visibilité au sein de l’entreprise, mais aussi développer mon réseau en Pologne. A l’avenir, je souhaite travailler à l’international. Cette expérience n’en sera donc que plus bénéfique pour convaincre mes futurs employeurs. Confrontée à la barrière de la langue, je vais suivre des cours de Polonais. La formation par alternance offre une combinaison particulière entre le monde du travail et la scolarité. Les retours réguliers en cours permettent de renouer avec la vie étudiante. C’est également l’opportunité de découvrir la culture d’une entreprise et de s’orienter vers ce qui nous correspond le mieux. A l’issue de ma formation, je souhaiterais travailler dans le domaine de la supply chain à l’international sur la gestion de projet, telle que la mise en place de nouvelles routes et leurs optimisations avec une partie management d’équipes.

Je suis en apprentissage au sein du service qualité chez Jean Martin, une entreprise agroalimentaire provençale connue notamment pour sa riste d’aubergine et ses ratatouilles. J’occupe le rôle d’assistante Qualité Sécurité Hygiène et Environnement au sein de cette entreprise locale. J’ai longuement réfléchi avant faire un choix entre le campus de Lyon ou celui d’Avignon. Lyon étant plus proche de Grenoble (chez mes parents), j’ai finalement choisi le campus d’Avignon car j’y habite depuis deux ans. Je ne me vois pas quitter la Provence avec son climat (et le Mistral) de si tôt. L’ambiance sur le campus est très agréable ! Il y a une super cohésion au sein de la promo apprentie 52 Avignon, cela s’explique certainement par la petite taille de la promo qui apporte plus de convivialité. Au sein de ce campus, on retrouve également l’ISEMA, une école de commerce agroalimentaire avec laquelle nous avons pour projet de partager un même BDE. Nous faisons partie d’un groupe d’étudiants des deux écoles qui travaillent sur ce projet depuis le début de l’année scolaire. La mission de ce futur BDE est de créer de A à Z la vie associative sur le campus d’Avignon. Ce projet est un gros défit ! Etant apprentis, nous ne sommes pas souvent sur le campus et encore moins souvent, au même moment que les autres promotions… Mais l’atout principal est qu’en devenant indépendant du campus de Lyon, nous pourrons développer une BDE à l’image de la Provence et correspondant aux réelles attentes de nos étudiants. De plus le profil commercial des apprentis ISEMA nous permettra d’aller encore plus loin dans nos idées et nous projets !